OSS 117 : Un philosophe a dit un jour « le mystère des Pyramides, c’est le mystère de la conscience dans laquelle on n’entre pas ».
Setine : Les pharaons se faisaient enterrer avec leurs serviteurs.
Moëller : Lorsque l’on meurt, souvent on voudrait que tout s’arrête avec soi.
OSS 117 : Mais, c’est le cycle même de la vie : lorsque quelqu’un ou quelque chose meurt, quelqu’un ou quelque chose naît ailleurs.
Setine : Nous tentons d’oublier que nous sommes des animaux, mais la nature nous le rappelle. Parfois cruellement.
Moëller : Des scientifiques font des expériences sur les mouches drosophiles parce que la structure de leur cerveau est extrêmement proche de la nôtre.
Setine : Le cheval nous voit plus grand que nous sommes avec son œil déformant. Ce n’est que grâce à cela que nous l’avons domestiqué.
Moëller : C’est notre œil, notre regard, qui nous dicte notre façon d’agir par rapport aux autres. Mais on peut être myope.
OSS 117 : L’aveugle ne voit pas, il ressent. Et, paradoxalement, il voit.
Moëller : Si le chat a la queue verticale, c’est qu’il est en confiance.
Setine : Le cul-de-jatte a une jambe qui le démange encore.
OSS 117 : Quand une femme change d’homme, elle change de coiffure.
Moëller : Il faut laisser pleurer un nourrisson quand il va au lit, sinon on sacralise trop son coucher.
Raymond Pelletier : Hum… On va boire un verre ou prendre un pot au bar… Hum ? Un p’tit godet là… On retourne au bar ? Tu veux un verre ?OSS 117 Der Spion, der sich liebte
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